"Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l’onde si lasse
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
L’amour s’en va comme cette eau courante
L’amour s’en va
Comme la vie est lente
Et comme l’Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure"
Ce poème est peut-être le plus comme une chanson
dans touts les poèmes qui j’ai montré. C’est par Guillaume Apollinaire et c’est
plus modern que les autres poèmes dans ce blog. Apollinaire a utilisé les
différents techniques et formes dans ses poèmes pour montrer le sens de chaque
un. Ici, il a utilisé la répétition et les rimes. Plus mots rime dans ce poème
que dans les autres dans ce blog. Pour un son il y a plein de mots. Un exemple
est "Seine," "souvienne," "peine" et "reviennent." Mais il y a aussi quelques autres sons importants dans ce poème. Il y a la répétition
de deux lignes chaque quatre lignes. Les phrases "Vienne la nuit sonne l’heure" et "Les jours s’en vont je demeure" sont dans ce poème quatre fois.
C’est un peu comme un refrain dans une chanson.
Il y a un chanson qui utilise ce poème pour les
paroles et c’est modern et bien fait je pense. C’est par Marc Lavoine et ce n’est
pas d’aujourd’hui mais c’est plus comme la musique modern que la musique
classique.