"Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
À peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait!
Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'archer;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher."
Ce poème montre les difficultés ou problèmes que
les artistes ont. Comme l’albatros n’est
pas faire pour la terre, l’artiste en général et le poète en particulaire n’est
pas faire pour le monde physique. Par
définition une artiste est diffèrent d’un individu comme un banquier ou un
maçon ou un marin. Ce poème souligne cette différence par nommer le poète comme
l’albatros. L’imagerie dans les lignes
de la deuxième strophe qui concernent "leurs grandes ailes
blanches" montre le différence entre l’oiseau en plein air et quand il
était tiré en bas où il ne peut pas trouver sa place. Les ailes « comme
des avirons traîner à côté d’eux » n’ont pas une raison sur la terre. Ils
sont trop grands et lourd quand l’oiseau n’est pas en vol et "ses ailes
de géant l’empêchent de marcher." L’oiseau ne peut pas marcher avec
ses ailes si grandes comme le poète ne peut pas exister dans une profession
terne ou être compris par les autres. Le
ligne qui concerne l’albatros (le poète) exilé sur la terre et encerclé par des
huées ou l’autre moquerie.
La cruauté des marins à un bel oiseau est comme la
cruauté que les artistes ont des autres qui ne peuvent pas comprendre leurs
travails ou ne peuvent pas apprécier leurs créativités. C’est un bien fait comparaison. Les détails de
cette type d’oiseau et son histoire travaille bien de montrer le vrai sentiment
Baudelaire a eu pour le poème. L’albatros un "prince des nuées" un
des "rois de l’azur" est majestueux et "comique" au
même temps. Dans son vrai environnement cet oiseau est une vue belle et l’avion
semble facile mais sur "le sol" il est une vue amusante ou
pitoyable. Il était dépourvu de son gloire/ beauté par les individus sous lui qui
font un spectacle de sa maladresse "pour s’amuser." Ces actions montrent la nature humaine pire
et donne un poids dans la poésie et une importance sur les poètes plus que les
gens normaux. Cette importance donne leurs vies plus sens et la moquerie ils suffirent
plus raison.
Comme un poème vite qui semble d’être très
simple à premier coup d’œil ce poème a plus importance qu’on attend. Oui il montre un comparaison clairement et
dans quatre strophes mais on peut analyser plus hors de quoi est dire
directement dans ce poème et il y a des subtilités entre les versions Français
et Anglais qui change le ton plus pour l’albatros et plus comme un moquerie. J’ai
trouvé cinq translations sur un site web et il y a des différentes formulations
dans chaque translation. Par exemple, l’expression "Ce voyageur ailé,
comme il est gauche et veule!" est traduit directement et aussi plus
artistiquement. Les cinq versions varie de "That winged voyager, how weak
and gauche he is," à "How droll is the poor floundering creature,
how limp and weak," ou "This winged traveler, how weak he becomes
and slack !" Ils sont quelques les meilleurs translations mais il y
a des autres qui montrent l’essence du poème mais changent les mots et lignes
tout ensemble. Les translations sont intéressantes avec leurs différences.
Ici je donne un exemple d’une chanson qui est
inspiré par le poème. Les mots sont les mots exacts du poème aussi et le
chanteur aime les poèmes de Baudelaire vraiment. Il s’appelle Léo Ferré.
No comments:
Post a Comment